L'ACTUALITE
Les sites olympiques pour Paris 2024 connus
Alors que les Jeux olympiques de Tokyo viennent de se terminer, le Comité international olympique a annoncé les différents sites qui accueilleront les prochains Jeux olympiques à Paris en 2024. Les sports équestres auront le cadre historique du Château de Versailles.
Pentathlon: la fédération internationale prête à modifier l’épreuve d’équitation
La Fédération internationale de pentathlon moderne (UIPM) va modifier le déroulement de son épreuve d’équitation (l’une des cinq épreuves qui compose la discipline), après les Jeux olympiques de Tokyo marqués par l’affaire Saint Boy, du nom du cheval qu’une cavalière allemande et son entraîneure avaient frappé.
« L’UIPM a commencé rapidement à travailler sur des mesures pour améliorer le bien-être des chevaux en pentathlon moderne et pour créer une épreuve d’équitation plus sûre pour tous les participants », a-t-elle indiqué dans un communiqué publié en fin de semaine dernière.
« Ces actions ont été décidées à la suite d’incidents survenus durant l’épreuve féminine des JO de Tokyo, sources de détresse pour les chevaux, les cavaliers et les spectateurs dans le monde entier », a expliqué l’UIPM.
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Des obstacles plus simples et moins nombreux
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Dans le cadre de cette réforme qui sera présentée lors du prochain congrès de l’UIPM fin novembre, ses dirigeants vont rencontrer leurs homogues de la Fédération internationale d’équitation et ont prévu de mettre en place à partir de 2022 une épreuve d’équitation « avec moins d’obstacles et des obstacles moins hauts et plus simples ».
En revanche, le principe du tirage au sort des chevaux, particularité du pentathlon moderne, n’est pas remis en question. Les athlètes tirent en effet au sort le cheval qu’ils vont monter pendant l’épreuve de saut d’obstacles et ne le montent que pendant 20 minutes avant l’épreuve. Pour la fédération c’est ce qui fait le piment de l’épreuve.
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Saint Boy « en bonne santé »
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Durant les JO de Tokyo, l’Allemande Annika Schleu, qui était alors en tête de la compétition, a eu toutes les peines du monde à contrôler Saint Boy. En larmes, la pentathlète allemande avait donné de nombreux coups de cravache et d’éperon à Saint Boy qui a ensuite multiplié les refus d’obstacle. Son entraîneure Kim Raisner avait ensuite été exclue des JO pour avoir frappé le cheval.
L’UIPM a précisé que Saint Boy, mis à disposition par un propriétaire japonais pour la durée des JO comme tous les chevaux utilisés à Tokyo, était en « bonne santé, quoique fatigué par les compétitions ».
Facile à dire.
La France quitte Tokyo 2020 avec une grande déception pour le jumping.
Après la première épreuve par équipes, vendredi, le rêve de médaille d’or pour la France était assez peu présent dans notre pays.
Et puis samedi alors que le soleil est déjà couché à Tokyo, c’est le temps de la finale.
Nicolas Delmotte est forfait alors c’est Mathieu Billot qui le remplace.
Après les premiers cavaliers, il est assez facile de comprendre que cette épreuve est énorme et c’est bien normal .
Simon Delestre avec un cheval gris que le monde du sport découvre, signe un parcours fantastique, peut-être l’un des trois plus beaux de cette finale, pas une barre au sol, un seul point de temps dépassé .
Ils sont peu nombreux à réaliser une telle performance et cela propulse la France très vite en leader potentiel .
C’est Mathieu Billot qui porte le dossard no 2 tricolore .
Il n’a pas encore l’expérience olympique.
Le parcours de son aîné lui donne une motivation nouvelle, il prend conscience de ce qu’il lui arrive , il sait qu’il a peut-être rendez-vous avec l’histoire.
Comme Simon, il monte un gris très puissant et respectueux mais plus atypique dans sa technique.
Comme Simon, il va chercher le sans faute dans le parcours le plus important de sa carrière .
Comme Simon, il laisse tous les obstacles debout mais arrive en retard alors 1 point.
La France totalise 2 points après les deux parcours de toutes les équipes....